L’ADPPM, qui sommes-nous ?

 

Origine de l’ADPPM :

L’ADPPM a été créée en 1969 par un groupe de Pylatais qu’inquiétait un projet de construction sur la place Daniel Meller.
On parlait à l’époque d’édifier un hôtel, des immeubles et des parkings, et de dévier la circulation.

Une action énergique en direction des pouvoirs publics fit reculer les promoteurs: l’ADPPM, Association de Défense et de Promotion de Pyla sur Mer, était née.

 

Objectifs de l’ADPPM :

Depuis presque cinquante ans, nous luttons pour préserver et embellir le cadre de vie des Pylatais.

Notre mission est de veiller à la protection du site de Pyla sur Mer et de participer à son développement harmonieux et durable. Notre action peut s’étendre à l’environnement du Pyla, à l’ensemble du Bassin d’Arcachon et des communes situées sur son littoral.

Nous avons à cœur d’éviter toute construction démesurée, de conserver au Pyla son identité de « ville sous les pins », et de protéger les aspects architecturaux et paysagers de ses villas et de ses jardins, ainsi que le caractère résidentiel et familial de son environnement.

 

Nous avons toujours été, et nous restons, indépendants de tout parti politique, et nous ne recevons aucune subvention.

Les succès de l’ADPPM :

  • Nous avons milité avec notre vice-président, Jacques Rigaud, alors Conseiller d’État, pour l’ouverture de la route de la Teste à la Dune du Pilat, qui a considérablement allégé la circulation des voitures au Pyla.
  • Nous avons combattu plusieurs projets de construction d’immeubles, de marinas, ou de thalassothérapie, en front de mer, sur le site dit du Casino, et place Daniel Meller.
  • Nous sommes des partenaires incontournables de la municipalité dans ses projets d’aménagement.
  • Nous avons travaillé avec l’architecte Bernard Wagon à l’élaboration du projet de ZPPAUP (Zone de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager) qui n’a malheureusement jamais été approuvé par les municipalités successives, mais dont les préconisations inspirent le nouveau PLU et servent aujourd’hui de référence pour la Charte Paysagère du PLU.
  • Nous continuons à demander aux autorités une protection forte de type AVAP ou quartier patrimoine, qui contribue à la sauvegarde du patrimoine pylatais et lui conserve son caractère.
  • Nous veillons à la régularité des permis de construire et des chantiers, et assistons nos adhérents dans leurs démarches quand il est nécessaire de s’opposer à une construction non conforme à la réglementation.
  • Nous avons obtenu devant le Conseil d’État le classement de la Forêt du Laurey-Pissens entre la Teste et le Pyla en zone inconstructible, évitant la création d’un lotissement de plusieurs centaines de maisons.
  • Nous avons accompagné et soutenu l’Association des Propriétaires Riverains dans le grand projet d’ensablement, qui a permis de regarnir les plages du Pyla de 2 millions de m3 de sable en 2003, et de les entretenir par une opération biennale au cours de laquelle 150 000 m3 de sable viennent consolider les plages.
  • Nous avons obtenu de la municipalité un arrêté soumettant la coupe des pins à autorisation, et imposant l’obligation de replanter les arbres de haute tige.

L’ADPPM, une insertion dans l’environnement :

L’ADPPM est présente au Conseil de Quartier du Pyla. Représentants d’associations et membres tirés au sort y évoquent les problèmes pratiques de la vie au Pyla et les projets d’entretien ou d’urbanisme.

Nous portons régulièrement à la connaissance des services municipaux les problèmes rencontrés par nos adhérents, et travaillons à leur résolution.

Un membre du CA dialogue avec les services d’urbanisme en vue de la révision du PLU.

Nous dialoguons avec la COBAS, le SIBA et le Syndicat Mixte de la Grande Dune, en matière d’ensablement des plages, d’entretien des réseaux, de collecte et de traitement des déchets, de circulation et de stationnement.

Association agréée protection de l’environnement par arrêté préfectoral du 25 janvier 1995, nous rendons compte chaque année de notre activité à la DREAL et avons le pouvoir d’intervenir et d’ester au plan départemental.

Nous sommes membres de la CEBA (Coordination Environnementale du Bassin d’Arcachon) et échangeons régulièrement avec les 31 autres associations membres. Il nous est possible de nous associer à la CEBA, ou à certains de ses membres, pour des actions contentieuses en lien avec la protection de l’environnement ou l’urbanisme :

  • Ainsi, nous avons été force de proposition dans l’élaboration du SCOT du Bassin d’Arcachon par le SYBARVAL, et avons été partie prenante dans son annulation, avec la CEBA, quand nous n’avons pas été entendus.
  • Nous sommes également informés des activités du PNM BA (Parc Naturel Marin du Bassin d’Arcachon), du Conseil Maritime de Façade Sud-Atlantique, et du Conseil de Gestion de la RNN du Banc d’Arguin.